Le nouveau gouvernement planche sur secret des affaires
On pouvait craindre que la nouvelle majorité sortie des urnes en juin dernier n’enterre purement et simplement, sans fleur ni couronne, l’idée de sanctionner la violation du secret des affaires.
S’il semble acquis que la proposition de loi portée par Bernard Carayon ne sera pas reprise à l’identique, notamment amputée de la modification de la loi de blocage, et ce pour des raisons exclusivement politique ; on peut en revanche saluer le fait que Bercy (MINEFI) souhaite s’empare à nouveau de la matière.
Interrogé par Le Monde, nous avons à cet égard estimé que ce sujet non clivant n’appartenait à aucun parti, et devait être porté au nom de l’intérêt général :
En ce qui nous concerne, ne pouvant bien évidemment nous désintéresser du sujet, nous restons particulièrement attentif, sinon très actif, sur ce travail en veillant notamment à ce que soit entendus les termes de la conclusion de notre ouvrage comportant des vœux et préconisations en la matière.
A lire également sur le sujet, une autre réflexion que nous partageons par notre confrère et ami Thibault de Manoir de Juaye :
Dans le même ordre d’esprit, un autre avis, divergent en apparence, sur un appel à une politique d’IE au sommet de l’Etat :